PLANTES ET CANCER

 

Plantes médicinales et cancer

 

Ces informations ne doivent en aucun cas pousser à l’automédication pour une maladie aussi grave que le cancer.

Ces plantes doivent être vues comme une approche complémentaire et non comme un substitut.

 

Racines de gnidia kraussiana et daphne gnidium, daphne genkwa : ont des propriétés anticancéreuses prouvées in vitro et débarrasse l’organisme des cellules mutantes

 

Tabebuia impetiginosa ou avellanedae ( lapacho ) : exerce une prodigieuse amplification du taxol. Des études in vitro ont prouvés ses actions antitumorales.

 

Pao pareira : en 1985, Les annales pharmaceutiques françaises numéro 1 ont publiés les résultats d’études in vivo sur des souris démontrant son effet anticancéreux

 

Graviola : plus puissant que l’adriamycine utilisée en chimiothérapie

 

Thé vert : les extraits agissent sur de multiples cancers dont le cancer du sein. Il augmente l’action du tamoxifen.

 

L’écorce de bouleau par son acide bétulinique agit sur les mélanomes et par le naftylxyloside agit en complément des molécules de synthèse sur les cancers

 

Propolis : équivalent au doxorobucine

 

Crucifères : contenant du indole-3-carbinol qui est aussi performant que le taxol in vitro

 

Agaricus blazei murill : contient du bêta-glucan comme le maïtaké

 

Annonnes : les extraits sont aussi puissants que l’adriamycine

 

Curcuma : propriétés anticancéreuses liées notamment à la curcumine

 

Dracanea angustifolia : extraits comparables à la doxorubicine

 

Gui : études trop controversées

 

Larrea divaricata : extraits aussi efficace que l’acide nordihydroguaiaretique et paclitaxel

 

Wooderfordia fructicosa : les extraits sont plus actifs que l’adriamycine

 

Calotropis procera : des scientifiques ont testé un extrait de latex séché de la plante sur des souris.

Cette substance aurait révélé une protection contre le cancer sans effets secondaires.

L’extrait du latex agit aussi sur les cellules provoquant le cancer du sein.

L’extrait des fleurs a démontré une puissante activité anticancéreuse chez des patients présentant un cancer colorectal.

L’extrait de l’écorce est aussi puissant que le taxol.

 

Camptotheca acuminata : utilisé pour traiter différentes formes de cancers.

La campotothecine empêche la réplication des cellules cancéreuses.

Sa toxicité demande une attention.

 

Centella asiatica : les scientifiques du Hamala research center en Inde, ont testés la plante contre les cellules cancéreuses in vitro.

Elle détruisit 100 % des cellules.

In vivo , l’extrait de la plante permis, sur des animaux, de doubler et plus la vie des souris atteintes de tumeurs avec une remarquable absence de toxicité.

 

Uncaria tomentosa : des études in vitro avec les principes actifs de la plante ont révélés une action antileucémique.

Des extraits de racine et d’écorce ont démontrés des activités anticancéreuses.

Des recherches italiennes reportaient en 2001 que la plante inhibe la croissance du cancer du sein par 90 % in vitro.

Une autre équipe reporta que la plante inhibe la fixation d’oestrogènes dans les cas de cancer du sein in vitro.

Des recherches ont aussi montrés que la plante inhibe la croissance des lymphomes et les cellules leucémiques in vitro.

Uncaria tomentosa prévient la mutation des cellules.

Associée aux traitements de synthèse elle abaisse les effets secondaires.

 

Maitaké ( grifola frondosa ) : le bêta-glucan contenu dans ce champignon est un anticancéreux puissant.

Dans une étude japonaise, des souris auxquelles ont avait injecté des cellules cancéreuses ont vu la croissance des tumeurs inhibées de plus de 80 % grâce à la prise de maitaké.

70 % des souris atteintes du cancer du sein ont vu leur tumeur se réduirent.

 

Morinda citrifolia ( noni ) : L’université de Keio et l’institut des sciences biomédicales du Japon ont prouvés que la damnacanthal contenue dans la plante prévient le cancer.

En 1992, l’association américaine de recherche sur le cancer a prouvé que la moitié des souris traitées avec la plante ont vécu 6 fois plus longtemps que les souris non traitées.

 

 

Romarin : les extraits abaissent la concentration d’oestrogènes

 

Huile de palme rouge : contient des tocotrienols dont le gamma-tocotrienol qui est trois fois pluis puissant que le tamoxifen utilisé comme traitement du cancer du sein.

Associé au tamoxifen, il le rend 45 fois plus efficace.

 

Andrographis : les extraits tuent les cellules cancéreuses du sein aussi efficacement que le tamoxifen.

 

Actée à grappes noires ( cimicifuga racemosa ) : aussi inhibiteur que le tamoxifen, associés ils sont encore plus puissants.

 

Brucea javanica : les extraits sont plus efficaces que le tamoxifen.

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